REALISER Chapitre 3

Chapitre3: Réaliser

Le stress était présent dans l'esprit de Vito et de Frida lorsqu'ils se trouvaient à Quimper.

Ils ne pouvaient pas deviner que la Martinique allait être pour eux une source de calme et de profonde sérénité mélangé à la confusion des genres et à la compréhension des antillais.

Ils prenaient leur temps, chaque actions étaient pour les antillais quelque chose de simple.

On ne pouvait pas allé plus vite que les administrations ou se disputer avec le livreur de meuble qui avait oublier un objet.

On pouvait se taire et regarder, parfois rire de la situation qui était si différente de ce qu'ils avaient vécu en métropole.

Ils avaient un langage du corps différent, un langage du geste ou des regards qui pouvait traduire des phrases.

Mais ce qui frappait le plus Frida c'est l'accueil chaleureux.

Les gens étaient plus spontanés, plus simple, plus calme, avec un humour bien de chez eux.

Le soir dans la chambre de leur maison Frida entendait de la musique zouc accompagné de rires et claquements de dominos provenant de la terrasse des voisins.

Même la famille avait un symbole encré et profond.

Ce qui importait le plus c'était le respect.